Etaient présents :
soit 16 personnes
Problème au niveau des contrats d'utilisation de la piscine, ils avaient été adressés au nom de l'ancienne présidente : tout est rentré dans l'ordre.
RAS
61 soit 25% de moins que l'année dernière.
Le même problème de baisse des inscriptions apparaît à l'échelle
nationale (cf. AG de la FFESSM Marseille 2005 - Dijon 2006).
Il semblerait que le coût de la plongée en soit responsable.
Les TIV ont été réalisées le 18 novembre
La liste a été mise à jours et sera communiquée par Jean-Marie
Rappel : il s'agit d'un local mis à la disposition de la section plongée du CE E2V. Cette section héberge le matériel du club. Afin que tout se passe dans les meilleures conditions, il est impératif de respecter les règles suivantes :
Nico présente le sujet : vu l'augmentation du nombre de
plongeurs « Nitrox » au club, la demande est faite de dédier
quelques blocs club à l'utilisation par ceux-ci.
Une discussion est engagée sur la conduite à tenir en cas de
crise hyperoxique. Explications de Nico sur les inconvénients et
risques du nitrox avec mise en avant que l'hyperoxie guette
aussi les non Nitrox sur la côte (suivi du matériel assez
aléatoire dans certains clubs)
Une explication du déroulement de cette crise et de la conduite
à adopter donnée par Wec est approuvée par l'ensemble des
participants. Celle-ci sera formalisée.
JiM s'est renseigné auprès de E2V : pas de PB pour stocker des
fûts remplis jusqu'au mélange 40%. Pas non plus de frais
d'assurance supplémentaire.
Discussions sur le TIV des blocs Nitrox :
Les règles fédérales actuelles vont devoir changer dans moins
d'un an, la limite "service O2" fixée à 40% aujourd'hui passera
à 22% en application d'une norme européenne en Novembre 2007, au
plus tard en 2008. Voir en annexe les recherches de Vincent sur
le sujet.
Conclusion : La décision d'autoriser le remplissage des
blocs Essor avec du Nitrox < 40 % est mise en délibéré (Pierrot
et Wec). Voir en annexe.
Vincent et Virginie organiseront une présentation bio avant la sortie de Fréjus
Organisée par Vincent le 7 janvier.
Les textes fournis par RABA ne nous concernent pas (instruction
04-072JS).
A ce jour, rien ne semble obligatoire concernant l'aptitude DSA
pour faire DP piscine.
Une question a été posée au CTN à ce sujet.
Lionel se renseigne auprès de deux clubs Lyonnais pour étudier la possibilité d'une démonstration de tir sur cible subaquatique. À suivre.
12 Janvier chez Greg
Réglementation étatique sur les TIV : Les inspections et requalifications périodiques ne distingue pas entre les gaz contenus dans les récipients.
CF à cet égard : Pour la réglementation antérieure à la directive 87/23/CE du 29 mai 1997 relative au rapprochement des législations des Etats membres concernant les équipements sous pression : arrêté du 20 février 1985 (JO du 28 février 1985), modifié par l'arrêté du 20 mai 1985 (JO du 30 mai 1985) et par l'arrêté du 18 novembre 1986 (JO du 29 novembre 1986). Pour la réglementation postérieure : Article 17 du décret 99-1046 relatif aux équipements sous pression (JO du 15 décembre 1999) et son arrêté d'application du 15 mars 2000 (Jo du 22 avril 2000) modifié par l'arrêté du 30 mars 2005 (JO du 23 avril 2005) ; voir à cet égard l'article 10 sur les inspections périodiques et l'article 22 sur les requalifications périodiques
Position de la FFESSM en février 2002 :
Jean-Pierre MONTAGNON écrivait ceci sur le site de la FFESSM en
réponse à deux questions différentes :
TIV et la visite annuelle des bouteilles Nitrox et Trimix / Les
TIV peuvent-ils pratiquer la visite annuelle des bouteilles nitrox
et trimix ?
Les TIV ne sont pas formés pour intervenir sur les bouteilles
contenant des mélanges constitués de plus de 21 % d'oxygène. Ces
interventions demandent des précautions particulières et des
opérations de dégraissage qui ne sont pas à leur portée, tout du
moins dans des conditions d'hygiène et de sécurité satisfaisantes.
Il est donc, à mon avis, préférable d'avoir recours aux services
d'une entreprise spécialisée.
CF http://ctn.ffessm.fr/nitroxti.html
D'autre part en réponse à une question sur les normes nitrox en préparation :
Je confirme qu'il y a en préparation deux normes concernant le matériel
nitrox :
1. le projet de norme PrEN 13949, "Appareils de plongée autonome à
nitrox respirable..." qui est l'équivalente de la norme EN 250
(scaphandre air) mais concernant les appareils destinés à être
utilisés avec un mélange azote-oxygène supérieur à 21 % d'oxygène.
Malgré une opposition de la délégation française qui était la
seule à demander une tolérance jusqu'à 40% d'oxygène, il a été
admis par l'ensemble des délégations et par le CEN que tout
matériel utilisé avec un mélange comportant plus de 21 % d'oxygène
devait être qualifié "oxygène" par suite des risques liés à
l'utilisation de l'O2 pur, à un moment donné, notamment lors de la
fabrication du mélange et du chargement. Ceci est en contradiction
avec l'article 6 de l'arrêté du 28 août 2000 relatif aux règles
techniques et de sécurité dans les établissements organisant la
pratique et l'enseignement des activités sportives et de loisir en
plongée autonome aux mélanges autres que l'air, qui précise que :
"En cas d'utilisation de mélanges préfabriqués, l'ensemble du
matériel doit être compatible avec une utilisation en oxygène pur
si le mélange contient plus de 40 % d'oxygène".
2. Une norme relative aux robinets de bouteilles à gaz, raccords
de sortie nitrox qui porte la référence EN 144-3 est également en
préparation. Elle définie deux types de raccords : le raccord
fileté pour nitrox respirable d'une pression maximale de 230 bars
et le raccord fileté pour nitrox respirable d'une pression
maximale de 300 bars. Il s'agit, bien sûr, du raccord entre le
robinet et le détendeur. Si, à priori, les normes ne sont pas
prédominantes par rapport aux textes réglementaires, ces normes
vont être appliquées par les fabricants car elles sont la garantie
de présomption de conformité à la directive PED (97.23 CE du 29
mai 1997) et elles rendront plus faciles les rapports avec les
organismes notifiés. De fait, elles vont devenir obligatoires car
nous allons être confrontés à une standardisation des matériels
"nitrox" qui à terme, va rendre incompatibles les matériels "Air"
sauf utilisation d'adaptateurs et autre bricolage pas
nécessairement souhaitables et engageant la responsabilité des
utilisateurs. Les appareils nitrox vont donc devenir spécifiques.
Toutefois, pour l'instant, rien n'empêche d'utiliser du matériel
"Air", après dégraissage, pour pratiquer la plongée "Nitrox" sauf
si, dans l'avenir, l'arrêté du 28 août 2000 était modifié en ce
sens. Cependant, le dégraissage des blocs est une affaire de
spécialiste, voire de professionnel, faisant appel à des
procédures strictes et surtout, mettant en jeu des produits
difficiles à manipuler et toxiques. Il faut noter enfin que le
marquage des bouteilles doit préciser le contenu et que les
nouvelles bouteilles mises en service pour le nitrox sont marquées
Air-Oxygène. C'est déjà un premier pas vers la différenciation
entre matériel "Air" et matériel "nitrox".
CF http://ctn.ffessm.fr/nitroxno.html
Position de la FFESSM en janvier 2005 :
La CTN indique dans son PV du 8 janvier 2005 (donc postérieur à
l'arrêté mélanges du 9 juillet 2004) : (CF http://ctn.ffessm.fr/ctn.0105.htm)
TIV et matériel nitrox : Cette question revient souvent et la
demande est de plus en plus grande pour que les bouteilles nitrox
(et trimix) puissent être visitées annuellement par des TIV. Elles
pourraient ainsi bénéficier de l'arrêté dérogatoire et d'une
requalification quinquennale. A priori, il n'y a pas d'obstacle
réglementaire (ceci n'est pas contradictoire avec l'arrêté du 18
novembre 1986 ayant institué les Tiv), mais les TIV actuellement
formés n'ont pas la compétence pour intervenir sur des bouteilles
susceptibles de contenir ces mélanges. Jean Pierre Montagnon fait
le bilan de ce dossier. Un groupe de travail se constitue dans
l'objectif d'étudier la faisabilité des inspections visuelles sur
les bouteilles utilisées pour les mélanges. L'objectif du groupe
de travail sera de répondre aux questions suivantes : Question
préalable : Un TIV ayant subi une formation complémentaire,
peut-il intervenir dans des conditions d'hygiène et de sécurité
raisonnables, sur des bouteilles destinées à contenir des mélanges
suroxygénés ? Si oui, quels sont les pré-requis nécessaires à
l'entrée en formation ? quel est le contenu de formation ?
quelles sont les procédures à mettre en oeuvre, les produits à
utiliser ? quelles seront les limites des interventions, simple
visite ou reconditionnement complet des bouteilles pour une
utilisation "oxygène" ? Jean-Pierre Montagnon a ouvert un Emel
spécial pour consulter sur le sujet : Mel : tiv.ffessm.nospam.wanadoo.fr
En attendant, une période transitoire est acceptée à l'unanimité
des présents ou représentés, durant laquelle les TIV qualifiés
«plongeurs nitrox confirmé » peuvent visiter les bouteilles de
mélanges, et apposer le macaron si et seulement si la bouteille
est saine. En revanche, aucune intervention de nettoyage ou de
réfection ou de reconditionnement par ces mêmes « TIV nitrox
confirmés », en attente des conclusions du groupe de travail et de
la décision de la CTN.
Septembre 2005 : nouveaux contenus de formation TIV
Conclusion de Vincent :
Le Ministère de l'Industrie n'impose ni n'interdit quoi que ce soit.
La FFESSM n'impose plus que le TIV soit plongeur Nitrox confirmé,
mais impose l'utilisation d'un local et du matériel d'inspection à
destination unique du service oxygène.
CF http://ctn.ffessm.fr/ctn.0905.htm
Dans la mesure où l'Essor en est dépourvu le manuel du moniteur impose le recours à une entreprise pour l'inspection des blocs de l'Essor qui pourraient être dédiés au Nitrox.
Etant donné :